« Ô Gange, j’ai reçu sur tes berges
L’essence de la suprême béatitude.
Ô Mère, j’ai touché ton eau
Et tes vagues m’ont purifié.
Les larmes me viennent aux yeux
à la seule pensée de quitter ta rive
Pardonne-moi si je dois partir.
Ô Gange, je te prie les mains jointes:
Ne m’oublie pas après ma mort »
Poème Indien anonyme